Au dessus du Doo Lough un à-pic de plus de 900 mètres (03/06/2010)

Et des moutons blackfaces qui s'aventurent sur des parois abruptes dont ils tombent souvent ! Dans son livre "a man may fish" T.C. Kingsmill More, évoque une plateforme sans retour d'où les moutons finissent par chuter. Cette photo faite au téléobjectif ne rend pas l'impression de verticalité de cette parois. (le livre en français s'appelle "Mémoires d'un pêcheur à la mouche irlandais" par mon ami Hubert Guillois. Il est envoutant)

David gère la fishery

David est posé, professionnel et d'un grande gentillesse et disponibilité sans oublier une pointe d'humour ! Avec lui tout fonctionne, toujours !

Si ce n'est pas le bonheur, ça y ressemble !

En pêche sur le Doo lough...

Surplombant le Fin lough dans l'attente d'un saut de saumon de printemps

Sur la rive opposée au Delphi lodge, on surplombe le lac Fin

courbure de la canne pendant le combat

On ne peut pas toujours se rendre compte de l'énergie d'un saumon de printemps !

Le saumon est remis à l'eau (03/06/2010)

Bertrand Fenart with a spring salmon

Après quelques tentatives de photos infructueuses. Heureusement un couple bien équipé d'un Nikon 300S a pris ces photos lors de leur balade le long du lac et a eu la gentillesse de me les transmettre

Combat d'un saumon de printemps pris à la mouche sur le doo Lough (03/06/2010)

Bertrand Fenart sur le Doo lough

Il est rare de le perdre à ce moment du combat. La seule erreur serait de resserrer trop fort le frein en pensant qu'il est trop fatigué pour un dernier sursaut.

Le travail d'un petit saumon de la Bundorragha river

au Turn pool dans les tourbières

Suite de la photo précédente... Le saumon se défend après la touche : il est bien ferré et il suffit de prendre son temps.

Descendre tout le pool à genoux (03/06/2010)

et lancer méticuleusement tous les cinquante centimètres et laisser dériver sa mouche très lentement et profond. Au bout la récompense : un petit saumon !

Truite fario lacustre du Doo lough (03/06/2010)

Ces truites dorées contrastent avec les truites de mer qui remontent dans le Doo lough et que seuls des connaisseurs peuvent différencier des saumons à la position de l'oeil et à la forme de de la nageoire caudale. Le plus beau spécimen de cette variété très dorée que j'ai eu la chance de capturer ne dépassait pas 2 lbs sur ce lac. C'est déjà exceptionnel compte tenu de la pauvreté du milieu. C'est en mer, en revanche, que les truites de mer et saumons grossissent !